Pour vous fournir un aperçu rapide de ce que vous apprendrez dans le livre « 2000 ans de complots contre l’Eglise », nous vous proposons ici quelques morceaux choisis.
Les juifs jouent perpétuellement la comédie du « peuple martyr », mais la réalité est que les martyrs sont en face, et que ce sont eux qui les tuent ou les font tuer par d’autres ! Ainsi du génocide des Arméniens chrétiens par les Turcs à l’instigation des loges (juives) du mouvement Jeunes Turcs (ces Jeunes Turcs étant pour beaucoup des « nouveaux musulmans », c’est à dire des juifs islamisés fictivement), Cf. BenoiSaint Méchin dans sa « Biographie de Mustapha Kémal » .
Dans : Le XVIème Concile de Tolède estime nécessaire la destruction des juifs infiltrés
En Autriche, le célèbre attentat de Sarajevo qui déclencha la Grande Guerre fut décrété, annoncé par avance et exécuté à son heure par la Maçonnerie. Un Suisse, haut dignitaire maçonnique, s’exprima en 1912 sur ce fait de la manière suivante : « l’héritier est un personnage de beaucoup de talent, dommage qu’il soit condamné ; il mourra sur le chemin du trône ».
Madame de Tebes annonça sa mort pendant les deux ans qui la précédèrent. Les principaux coupables étaient tous maçons ».Tout cela, dit Wichtl, ce ne sont pas des suppositions, mais des faits judiciairement prouvés, qui sont tus intentionnellement.Dans : Crimes de la Maçonnerie
«Tout le sol bétonné du grand garage (il s’agit du lieu d’exécution de la Tcheka provinciale de Kiev) était couvert de sang ; celui-ci ne coulait pas, mais formait une couche coagulée de plusieurs pouces d’épaisseur ; c’était un horrible mélange de sang, de sexes, de morceaux de crânes, de mèches de cheveux et d’autres restes humains. Tous les murs, troués de milliers d’impacts de balles, étaient tachés de sang, avec des morceaux de sexes et de cuir chevelu collés dessus.»
« Un caniveau de 25 cm de largeur et de 25 cm de profondeur, long d’une dizaine de mètres, allait du centre du garage à un local voisin, où s’ouvrait une canalisation souterraine d’égoût. Ce caniveau était complètement rempli de sang.»
Un haut dirigeant du Judaïsme du siècle passé, Adolf Jacob Frank, dans son intéressant ouvrage sur la Cabbale, déclare ceci à propos de la démonolâtrie (le culte des démons) chez les hébreux : « Si dans le Judaïsme l’on trouve des traces de la plus sombre superstition, il faut surtout chercher la cause de la terreur qu’il inspire dans sa démonolâtrie ».
[…] La méchanceté du Judaïsme, on le constate, est sans limite et incalculable. C’est pour cela que le Christ Notre-Seigneur appela les hébreux « Fils du diable » et leurs synagogues, « Synagogue de Satan ».
Le périodique italien « La Divina Parola »(la Divine Parole) du 25 avril 1920 écrivit qu’en Hongrie, « pendant la réaction anti-bolchevique contre le juif Bela Kuhn, on découvrit dans des souterrains des cadavres de religieux entassés n’importe comment. Des diplomates étrangers appelés par le peuple à constater le fait de leurs yeux ont témoigné avoir vu de nombreux cadavres de religieux et de religieuses, dont les croix pectorales qu’ils portaient normalement sur la poitrine leur avaient été enfoncées dans le cœur ».
Le même Lambelin a indiqué que parmi les acteurs de la Révolution de 1789 et les membres de la Commune révolutionnaire, les juifs étaient également représentés par Ravel, Isaac Calmer, Jacob Pereyra et d’autres, et cet auteur signale la présence de dix-huit juifs parmi les principaux membres de la Commune Révolutionnaire.
L’écrivain français Edouard Drumont rapporte que lors de l’incendie de Paris de 1871, les communards incendiaires laissèrent intacts les cent cinquante immeubles qui appartenaient à la famille Rotschild.
« La première chose qui surprend le nouvel adepte dans une loge est le caractère juif de tout ce qu’il y rencontre. Depuis le premier grade et constamment après, il n’entend parler que du « Grand Oeuvre » de reconstruire le temple de Salomon, de l’assassinat de l’architecte Hiram Abiff, des deux colonnes Booz et Jakin (III Rois, VII, 21) d’une multitude de contre-marques et de paroles sacrées hébraïques, ainsi que de l’ère juive pour laquelle on ajoute 4000 ans à la nôtre afin de ne pas honorer la naissance du divin Sauveur ».
Dans tous les rites dit Benoit les maçons sont soumis à une éducation qui leur enseigne, en théorie comme en pratique, la violence. On leur dit que l’Ordre maçonnique a pour finalité de venger la mort d’Hiram sur ses trois compagnons traîtres, ou celle de Jaques de Molay sur ses assassins, le Pape, le Roi et Noffodai. Dans un certain grade, celui qui va être initié doit essayer son courage sur le cou et des têtes garnies de boyaux remplis de sang ; dans un autre grade, celui qui va être reçu doit couper des têtes placées sur un serpent, ou encore égorger un agneau en pensant tuer un homme (30ème grade du Rite Ecossais Ancien Accepté). Ici, il doit engager de sanglants combats contre des ennemis qui l’empêchent de revenir dans son pays ; là, il y a des têtes humaines exposées sur des poteaux, il y un cadavre dans un cercueil, et tout autour, les frères en deuil concertent la vengeance.
Dans : Crimes de la Maçonnerie