Au XIIème siècle, en même temps que le Judaïsme tentait de prendre le contrôle de la Papauté au moyen du Cardinal judaïque Pierleoni et que s’organisait la première révolution républicaine qui se rendait maîtresse de Rome, la secte des Albigeois préparait en secret la plus gigantesque révolution connue jusque là, dans le but de désintégrer le Christianisme, et s’organisaient en même temps en secret d’autres sectes, celles-ci tendant toutes à dominer l’Europe, à mettre à bas l’ordre dominant et à détruire la Sainte Eglise.
Le Judaïsme ne se limita pas alors en effet à organiser une seule secte, un seul mouvement révolutionnaire, mais bien au contraire en créa dans l’ombre plusieurs, différents les uns des autres, avec une variété d’idéologies et de principes, utiles pour prendre le contrôle de gens de tous les goûts ; de telle manière que si à certains ne convenaient pas le programme, les dogmes et les croyances d’une secte, ils puissent en apprécier mieux une autre, et que si l’une échouait, une autre puisse obtenir le triomphe désiré. C’est ainsi que le Judaïsme commença d’employer une autre de ses tactiques traditionnelles qui lui a donné de si bons résultats et qu’avec l’expérience des siècles il a su perfectionner sans cesse davantage, tactique consistant à ne pas placer toutes ses chances de victoire dans une seule organisation, mais de les répartir dans plusieurs, d’idéologies variées et contradictoires, capables de capter la sympathie de gens ayant les goûts et les manières de penser les plus divers.
C’est exactement ce qu’il fait aussi de nos jours, en organisant les partis, depuis les partis démocrates-chrétiens jusqu’aux partis d’extrême droite, quels que soient les noms qu’il leur donne, avec aussi les partis centristes, socialistes, anarchiste, et aussi avec toute la gamme des organisations maçonniques, théosophiques et spirites, jusqu’aux associations Rotariennes et de Boy-Scouts, outre une multitude d’autres qu’il serait trop long d’énumérer et que des auteurs compétents ont montré être sous le contrôle du Judaïsme international. Sous cette forme, la Synagogue peut étendre sa domination sur des gens de tendances et d’idéologies les plus diverses, et tenir sous contrôle les peuples chrétiens et gentils, facilitant le triomphe de ses plans de domination mondiale.
Avant d’aborder l’étude d’autres sectes hérétiques qui, associées aux Albigeois, prirent part à cette grande révo-lution crypto-juive du XIIème siècle qui fut sur le point de conquérir l’Europe et de détruire l’Eglise, nous citerons deux sources juives indiscutables qui nous parlent du rôle que jouèrent les israélites dans les hérésies de cette époque.
L’Encylopédie Judaïque Castillane expose l’opinion qu’avait l’Eglise en ces temps-là sur la question de l’origine des hérésies médiévales, et elle confirme donc ce qui avait été affirmé par les clercs et les écrivains catholiques de diverses époques qui assuraient que les juifs étaient les pères de toutes les hérésies, en publiant textuellement ceci :
« De la même manière que l’Inquisition accusa les juifs d’avoir été les instigateurs des hérésies médiévales, également tous les mouvements hétérodoxes de la Réforme étaient aux yeux de l’Eglise le fruit d’une conspiration juive, et leurs initiateurs et chefs étaient des judaïsants ». 275).
Il est évident que ni l’Inquisition ni l’Eglise ne mentaient, et qu’elles possédaient des preuves suffisantes fondant ces affirmations.
Sur le même sujet, le rabbin Lewis Browne dans son intéressante « Histoire des Juifs », dans un chapitre intitulé « La mise en pièces de l’Eglise » sous-titré « Comment les juifs aidèrent à l’apparition de la Réforme Protestante », affirme ceci : « C’était davantage qu’une épine. Dispersée comme elle était sur toutes les terres de la Chrétienté, la Synagogue opérait partout, tout à fait comme un réseau de tout petites épées qui frappaient le sentiment d’auto-suffisance de l’Eglise. Ceci explique pourquoi l’Eglise ne laissait aucun repos au juif. Celui-ci était son ennemi le plus dangereux, car n’importe où il émigrait, il fomentait des hérésies ». 276)
Ce rabbin lettré, outre qu’il confesse avec une absolue franchise ce qui est la plus grande vérité, en signalant que les juifs sont les ennemis les plus dangereux de l’Eglise, nous donne la clef de ce qui a été pour beaucoup un grand mystère, à savoir la rapide diffusion qu’il évoque en différents pays des hérésies médiévales, puis de la Maçonnerie plus tard, et aujourd’hui du Communisme marxiste. Effectivement, les organisations juives étant éparpillées depuis de nombreux siècles à travers le monde entier « comme un réseau de petites épées », avec dans tous les pays des hommes influents et avec une puissance financière bien enracinée partout, il leur est extrêmement facile de propager et de donner avec une vitesse stupéfiante un caractère international à tout mouvement subversif public ou à tout autre type d’association. Seule une institution comme la Synagogue, qui a des racines millénaires dans toutes les parties du monde, a eu la possibilité de donner rapidement des dimensions internationales à autant de mouvements pervers, avec lesquels elle a tenté de dominer les peuples et de détruire leurs libertés au moyen de son arme favorite, le mensonge.
Pour nous reporter à un autre des grands mouvements hérétiques qui au XIIème siècle tentèrent de démolir tout l’ordre social, nous allons nous référer une fois encore aux sources israélites d’autorité majeure et indiscutable.
Parlant des Vaudois, le rabbin Jacob S. Raisin écrit :
« Un autre groupe hétérodoxe eut son origine en Valdo, un riche commerçant de Lyon. Celui-ci était un diligent lecteur de la Bible, et il demanda à deux prêtres de la lui traduire en français. Désireux de mettre en pratique le conseil de Jésus au jeune homme riche, il distribua ses richesses aux pauvres et à ceux auprès desquels il l’avait tirée, et fit vœu de pauvreté (en 1176). Son exemple fut suivi par beaucoup d’hommes de la cité, des « Pauvres de Lyon », nom sous lequel les Vaudois furent connus, et ils eurent beaucoup d’imitateurs, non seulement dans le nord de la France, mais aussi en Espagne et en Italie ». 277)
Comme on pourra l’observer, le parti de cette secte ne pouvait pas être plus attirant, surtout pour les classes pauvres de la population qui formaient comme toujours la majorité. L’apparence de Sainteté et de pureté sous la-quelle on vit son chef ne pouvait être plus trompeuse. Tout cela contribua à rendre gigantesque la puissance révolutionnaire du mouvement. Avec une façade aussi claire, aussi pure et aussi bénéfique pour les classes humbles, il est compréhensible qu’une grande quantité de fidèles furent pêchés. Mais ensuite allait apparaître le poison.
Le rabbin cité ajoute : « pour ces disciples dévots des Ebionites, l’Eglise Romaine était la « Mère Ecarlate » de l’Apocalypse, avec son culte idolâtrique (des images) comme les cultes qu’elle avait remplacés ». 278)
Tout avait pourtant laissé croire jusque là qu’il s’agissait d’un mouvement d’une pureté immaculée, dirigé par des hommes qui distribuaient leurs richesses et qui suivaient au pied de la lettre les règles de perfection dictées par Notre-Seigneur Jésus, en luttant contre les immoralités du clergé, à cause desquelles ils prétendaient comparer la Sainte Eglise avec la mère écarlate de l’Apocalypse. Il est logique que de grandes foules, trompées par ces apparences, aient été entraînées par cette hérésie.
Mais par ailleurs, leurs doctrines ressortaient moins de l’orthodoxie que de celles des Cathares et des Albigeois, qui étaient gnostiques et manichéens, et ainsi elles étaient plus faciles à accepter par la majorité des fidèles. Qui allait pouvoir imaginer que, derrière tant de belles choses, se cachait là une nouvelle et sinistre tentative de judaïsation de la société chrétienne pour dominer celle-ci ?
Pour utiliser une fois encore une source indiscutable et narrer le cours ultérieur que prit ce mouvement d’apparence philantropique, nous ferons de nouveau appel à cette œuvre officielle du Judaïsme qu’est l’Encyclopédie Judaïque Castillane, qui, à propos des Vaudois, dit ceci :
« Les Vaudois, une secte qui apparut vers 1170 à Lyon sous la direction de Pierre Valdo, représentaient cet aspect du mouvement biblique sur le terrain duquel devait pousser le protestantisme de Jean Huss, de Münster, de Zwingle et autres réformateurs des siècles suivants. Cette hérésie prit une extension considérable, depuis Lyon et la Provence jusqu’en Lorraine et en Wallonie au Nord, et jusqu’en Moravie et en Hongrie à l’Est. Ce n’est surement pas une simple coïncidence si son berceau fut la ville de Lyon, comme celui des Passagiles eut celui de Milan, l’un comme l’autre, deux grands centres de vie et d’influences juives. La Bible vaudoise conservée en quelques exemplaires (manuscrits de Cambridge du XVIème siècle et de Grenoble) ne contenait pas moins de trente deux livres hébreux. On la lisait dans des conventicules secrets, sous la direction de prédicateurs ou barbes, un nom que l’on pense être d’origine juive. »
« Les Vaudois se considéraient comme le véritable Israël, ou selon l’expression de leur chef Muston, « l’Israel des Alpes ». Comble et Muston parlaient de l’exode et de la dispersion des croyants. Pierre Valdo est « le Moïse de ce petit peuple, qui sortit du pays de la servitude » et « le Père, l’Abraham, de l’Israël des Alpes, avant de se convertir en Moïse ».
Les barbes vaudois envoyaient des missionnaires en Italie « prêcher le repentir et nourrir les brebis dispersées de l’Israël persécuté dans les vallées des Alpes ». Les mêmes barbes, bien versés dans les sciences, les langues et les Ecritures, se comparaient aux Anciens d’Israel, et leurs « paroisses » consistaient dans les tribus dispersées de l’Israël des Alpes, dont ils étaient les lévites et les juges ». 279)
La tactique des juifs d’accuser leurs ennemis précisément de ce qu’ils font eux-mêmes atteignit son comble dans les attaques lancées par l’hérésie hébraïque des Vaudois contre la Tradition de la Sainte Eglise, Tradition qui est fondamentalement anti-juive. Selon ce qu’affirme le rabbin Louis Israel Newman, ils disaient que « La tradition de l’Eglise était la tradition des « pharisiens », ce qui est la fréquente accusation des hérétiques. Les Vaudois de Lombardie affirmaient qu’il était licite de sortir de l’Eglise Romaine, parce que ce n’était pas l’Eglise de Jésus-Christ, et qu’elle était gouvernée seulement par des scribes et des pharisiens ». 280)
Le rabbin en question poursuit (pages 236 et 237 de l’ouvrage cité) en disant à propos de « l’association personnelle de juifs et de Vaudois » qu’elle appuie cette autre coïncidence que des villes comme Lyon et Metz, où les juifs étaient nombreux et influents, furent des foyers importants de l’hérésie vaudoise, affirmant ensuite que « non seulement les juifs et les Vaudois se trouvèrent unis aux XIIème et XIIIème siècles », mais aussi (page 238 du même ouvrage) qu' »en marge de l’évidence qu’il y eut une relation personnelle entre les juifs et les Vaudois au XIIIème siècle, il existe aussi l’évidence qu’au XVème siècle les Hussites et les juifs furent en fréquents contacts, et que les Hussites et les Vaudois étaient directement et indirectement liés… » Il écrit encore : « Au XVIème siècle, avant le début de la Réforme comme après, les relations personnelles entre juifs et Vaudois se multiplieront ». Et même beaucoup plus tard, au XIXème siècle, nous trouverons les Vaudois et les juifs unis par des relations, non pas spirituelles, mais gouvernementales. Ainsi en Italie, le 13 septembre 1849 fut créée une Commission ministérielle ayant pour objet de réorganiser l’Administration propre aux Vaudois et aux juifs ». 281)
Nous citerons pour finir un autre élément très intéressant que fournit l’historien israélite Gerson Wolf, qui affirme qu’au XVème siècle les juifs furent impliqués dans une accusation où il leur était imputé d’être entrés dans une conspiration des Hussites et des Vaudois contre les puissances gouvernantes d’alors 282). Cet auteur juif fut persécuté par le gouvernement autrichien pour avoir écrit un livre à tendances subversives intitulé « La Démocratie et le Socialisme ».
Pour ceux qui désireraient approfondir l’étude de cette conspiration juive, hussite et vaudoise, des données intéressantes sur la conjuration en question se trouvent dans le Livre des Actes de la Faculté de Théologie de l’Université de Vienne, spécifiquement dans l’Acte du 10 janvier 1419, et ils pourront donc se reporter à ce document original. 283)
275) Encyclopédie Judaïque Castillane, Ed cit., t. III, terme Cristianismo: Christianisme.
276) Rabbin Lewis Browne : « The Story of the Jews« , Edit. Jonathan Cape Ltd,Londres, 1926, p. 207.
277) Rabbin Jacob S. Raisin : « Gentile Reactions to Jewish Ideals« , Ed. cit., chap XVII, p.455.
278) Rabbin Jacob S. Raisin : Op. cit., ed. cit., chap XVII, p.455.
279) Encyclopédie Judaïque Castillane, ed. cit., t. III, terme : Chrétiens.
280) Rabbin Louis Israel Newman « Jewish Influence eon Chistian Reform Movements« , ed. cit., p. 229.
281) Rabbin Louis Israel Newman, Op. cit.,ed. cit., pp.236-238.
282) Gerson Wolf : « Studien zur Juebelfeier der Wiener Universität », Vienne, 1865,pp. 22-23.
283) Livre des Actes de l’Université de Vienne, MSS Acte du 10 janvier 1419.
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